EN 2025, LES JARDINS DU TROCADÉRO ACCUEILLERONT 

NOS AÏEUX QUI ONT VÉCU L' ESCLAVAGE COLONIAL

Le 30 janvier 2024 à minuit marquera la clôture de l'appel à candidatures pour le futur mémorial en hommage aux victimes de l'esclavage colonial. Cet appel est ouvert aux paysagistes, architectes et scénographes, qui sont invités à soumettre des projets de jardins en l'honneur des 'nouveaux libres', en signe de respect pour ceux qui ont été trop longtemps oubliés. Proposé le 23 mai 2017 par le CM98 au Président de la République, ce projet est désormais mis en œuvre par le gouvernement. Les propositions seront examinées par un comité de sélection spécialisé. 

Pour marquer cette nouvelle étape et découvrir le futur lieu de mémoire, nous organiserons prochainement une visite dans les jardins du Trocadéro, où sera construit le mémorial.

Nous sommes actuellement en janvier, mais il n'est jamais trop tôt pour commencer à planifier les événements à venir. C'est pourquoi nous souhaitons attirer votre attention sur trois dates clés à retenir pour le mois de mai 2024. Ces événements sont des moments de réflexion sur ce que nous sommes, mais aussi de commémoration et de moments culturels.

Marquez-les dès maintenant dans votre agenda !

23 Mai : Journée Nationale en Hommage aux Victimes de l'Esclavage Colonial
Une journée dédiée à la mémoire et au respect, pour rendre hommage à ceux qui ont souffert et lutté.

8 au 23 Mai : Tables Rondes du Tan Lanmèkannfènèg
Un ensemble de discussions et de réflexions portant sur la mémoire de l'esclavage. Des tables rondes pour apprendre, échanger et partager, que nous ayons ou non les mêmes conceptions. .

19 Mai : Cousinade en Hommage aux Aïeux
Un repas traditionnel, pris ensemble autour duquel, nous partageons nos histoires familiales et transmettons les noms et prénoms d'Aïeux retrouvés qui ont vécu l’esclavage colonial. 

Nous partagerons plus de détails dans notre prochaine édition. Restez à l'écoute !

Découvrez les pages occultées de l'histoire : une plongée dans l'univers méconnu de l'esclavage dans les sociétés arabes, une réalité historique complexe et longtemps restée dans l'ombre.

Parler de l’esclavage dans les sociétés arabes suscite encore aujourd’hui de la gêne et surtout d’innombrables interrogations. Son histoire est le plus souvent exclue des manuels scolaires et confinée à la périphérie des programmes académiques. À cela, on peut invoquer plusieurs raisons:

1/ Tout d’abord, la force de certaines traditions historiographiques et épistémologiques qui le considèrent comme un fait marginal voire un accident banal de l’histoire des pays du Maghreb et du Proche-Orient.

2/ En plus, l’émiettement et la fragmentation des travaux de recherche entravent extrêmement les perspectives de réflexion portant sur l’histoire, le rôle des esclaves et de leurs descendants dans le monde arabe.

Pourtant, il s'agit d’un phénomène qui a duré plus de douze siècles. En effet les derniers processus d’abolitions ne datent que des années 1960. Tous ces obstacles ont longtemps servi d'alibi au silence et à l'oubli d'une longue histoire humaine et de réalités socioculturelles toujours actuelles. 

Conférence animée par Salah Trabelsi - Professeur d'histoire.

Date : Samedi 27 janvier 2024

Horaires : 15h Paris – 10h: Martinique et Guadeloupe – 18h: La Réunion – 11h: Guyane.

Lieu : Amphi Richelieu, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

17 rue de la Sorbonne, 75005 Paris

Accès : RER B - Station Saint-Michel | Métro - Station Cluny-la Sorbonne

Entrée libre et ouverte à tous sur inscription

Lien d'inscription : 

https://us06web.zoom.us/webinar/register/7417049176025/WN_QJ3T_Q35QZaCeNfj4NnnVw

Rejoignez nous pour un après-midi d'enrichissement culturel et historique !  

?? 1ère Partie : Les Révélations de 1831 en Martinique avec Magalie
Vous êtes intrigué par l'impact des événements historiques sur votre histoire familiale ? Participez à la présentation de Magalie, qui partagera sa généalogie liée à un événement de 1831 en Martinique. Cet épisode historique pourrait-il expliquer son engagement au CM98 ? Cette partie de l'atelier est une occasion unique pour découvrir des aspects méconnus de nos propres racines à travers des récits.

?? 2ème Partie : Votre Aventure Généalogique avec nos Experts
Lors de la deuxième partie, notre équipe de généalogistes bénévoles vous aidera à naviguer dans l'histoire de votre famille. Que ce soit pour retracer vos ancêtres esclaves, affranchis, engagés ou pour explorer une branche spécifique de votre histoire familiale, cet atelier est l'endroit parfait pour débuter ou progresser dans vos recherches généalogiques.

?? Rendez-vous le Samedi 3 Février à 15h00 à l'Espace Maurice Nilès
11 rue du 8 mai 1945 
93000 Bobigny

En Martinique, l'Association Martiniquaise de Recherche sur l'Histoire des Familles (AMARHISFA) joue un rôle crucial dans la préservation et la divulgation de l'histoire de l'émancipation et de l'attribution des noms de famille. L'AMARHISFA a réalisé un dépouillement exhaustif des arrêtés d’affranchissement entre 1838 et 1848, documentant ainsi les détails vitaux de 26 560 affranchis. Ce travail minutieux offre un aperçu précieux sur un pan souvent méconnu de l'histoire martiniquaise. Pour découvrir plus sur ce travail de mémoire essentiel et explorer les histoires individuelles qui se cachent derrière ces noms, nous vous invitons à visiter le site des Archives Territoriales de Martinique, où le fruit de ces recherches est présenté. 

Bravo à Alex Bourdon et à toute son équipe.

L'année 2025 verra la réalisation du Mémorial national des victimes de l'esclavage. Il s'agira alors de l'aboutissement d'un projet élaboré par le CM98 et proposé le 23 mai 2017 au Président de la République qui en avait accepté le principe. 

Ce projet est devenu aujourd'hui une réalité qui est mise en œuvre de façon résolue par le gouvernement. Le 23 mai 2025 le Mémorial national sur lequel seront gravés les noms et les prénoms de tous nos Aïeux affranchis en 1848 par le décret d'abolition de l'esclavage, sera édifié et inauguré dans les Jardins du Trocadéro par le Président de la République. Désormais, nos Aïeux qui ont vécu le martyre de la traite négrière et de l'esclavage colonial, auront leur Panthéon. 

Nous sommes fiers de vous présenter la photo ci-dessus des membres du Conseil d'administration et du Bureau qui forment le cœur du CM98. Ils joueront la réalisation d'un rôle essentiel dans la de notre ambition de demeurer une institution majeure de la mémoire de la traite négrière et de l'esclavage colonial.

En effet, il s'agira, de penser, d'organiser et de pérenniser tous les 23 mai la cérémonie d'hommage aux victimes de la traite et de l'esclavage colonial dans ce lieu prestigieux de la capitale de la France. 

Cependant ceci ne pourra se faire sans le renforcement de notre association dans tous les domaines. Ceci ne pourra pas plus se faire sans la participation active, consciencieuse et résolue de tous les descendants de ces Aïeux retrouvés, et en particulier la mobilisation des nouvelles générations. 

C'est pourquoi, dès maintenant le CM98 2.0 doit être définitivement mis en place. Notre atelier de généalogie et d'histoires des familles et notre groupe base de données archives doivent se préparer afin de pouvoir répondre aux nombreuses demandes de recherche de leurs Aïeux qui se feront jour. Nous poursuivrons l'enrichissement de notre base de données « Identité et généalogie des esclaves des colonies françaises ». 

Notre université populaire devra plus que jamais nous donner tous les éléments d'histoire pour la compréhension de notre Histoire. Elle devra aussi réaliser les autres thématiques de notre programme général, sur l'Histoire et mémoire des crimes contre l'humanité, sur la diversité humaine et la lutte contre le racisme, et surtout sur la fabrication et les identités des sociétés post-esclavagistes.

Aussi notre communication générale devra être à la hauteur de tous ces enjeux, afin d'informer et de mobiliser la communauté de tous les descendants de ces Aïeux, individus, personnalités, associations, entreprises, mécènes. Il faudra aussi bien sûr mobiliser la communauté nationale, l'État, les collectivités politiques et administratives pour assurer les indispensables moyens financiers nécessaires.

Nous sommes convaincus que ces actions, soutenues par votre engagement et votre participation, nous permettront de faire avancer notre mission commune. Ensemble, continuons à écrire l'histoire et à valoriser notre patrimoine mémoriel.

Avec toute notre gratitude pour votre soutien continu

"Je représente l'un des 40 000 marcheurs du 23 mai 1998, de la place de la République à celle de la Nation à Paris, où nous avons débuté le travail de réhabilitation de la mémoire des esclaves des anciennes colonies françaises. Depuis cette date , nous nous battons inlassablement pour la reconnaissance des ancêtres esclaves des Guadeloupéens, Martiniquais, Guyanais et Réunionnais. Cette reconnaissance est cruciale pour surmonter le ressentiment qui entrave les sociétés d'outre-mer et leur avenir."

En 2017, un combat crucial a été mené contre le Sénat français pour rétablir un article de loi visant à sauvegarder le 23 mai comme date officielle de commémoration nationale en hommage aux victimes de l'esclavage colonial. Cette lutte a été un jalon important dans notre quête de reconnaissance et de justice pour les victimes et leurs descendants.

Après plus de 25 ans de lutte pour la réhabilitation des victimes de l'esclavage colonial, un mémorial significatif verra le jour. Le 23 mai 2025, un mémorial portant les noms de 200 000 victimes sera inauguré dans les jardins du Trocadéro à Paris par le Président de la République. Ce mémorial servira de lieu de mémoire et de réflexion, honorant la vie et l'héritage de ceux qui ont souffert sous l'esclavage colonial.

Nous, descendants d'esclaves, affirmant notre histoire sans honte, sommes prêts à concevoir une mémoire de l'esclavage apaisée. Cette démarche s'inscrit dans l'esprit de la marche silencieuse du 23 mai 1998. Serge Romana, Emmanuel Gordien et Viviane Rolle-Romana, ainsi que des centaines de militants, ont œuvré pendant plus de deux décennies pour rendre hommage à nos familles et à notre histoire. 

Adieu, Sabine ! Pendant de nombreuses années, elle s'est dévouée en tant que militante au sein de l'atelier de généalogie et d'histoires des familles antillaises. Elle a également joué un rôle actif au sein de la commission de l'université populaire. Sabine a participé à la mobilisation pour envoyer une lettre au Président de la République, le pressant de tenir son engagement à construire le mémorial.

Lorsqu'elle se trouvait sur le stand du CM98, son désir de partager avec le public venu rechercher ses racines l'histoire de nos ancêtres était palpable. Toujours souriante et spontanée, cette militante va beaucoup nous manquer. En souvenir, nous partageons une vidéo de son passage sur le stand le 23 mai 2023 au ministère de l'Outre-mer.

Mariane Glaude, responsable du groupe jeunes du CM98, a récemment organisé une sortie culturelle exceptionnelle au Panthéon. 

Cette visite était centrée autour de l'exposition de l'artiste Raphaël Barontini, dont les œuvres poignantes évoquent l'histoire et la mémoire des luttes contre l'esclavage. Raphaël Barontini présente une série de figures héroïques, à la fois célèbres et méconnues, qui ont joué un rôle crucial dans l'abolition de l'esclavage. Ces représentations forment ce qu'il appelle son « panthéon imaginaire », un hommage vibrant à ces combattants de la liberté. 

Parmi les participants à cette première sortie culturelle du groupe jeunes, Kenny Laurencin, un jeune homme en quête de ses origines, était présent pour découvrir et s'imprégner de cette partie importante de notre histoire.

Nous sommes ravis de partager avec vous une série de témoignages vidéo capturés lors du parcours mémoriel, une initiative émouvante organisée par le Parc Naturel de la Guadeloupe.

En juillet dernier, les militants du CM98 ont réalisé un périple à travers l'île, offrant un soutien inestimable aux familles en quête de leurs racines ancestrales. Cette vidéo présente des témoignages de descendants ayant participé à cette démarche. Chaque récit est un fragment de notre histoire collective, mettant en lumière nos liens profonds avec le passé.

Si vous êtes curieux de découvrir l'histoire de votre famille, n'hésitez pas à contacter notre équipe de militants à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. . Nous sommes là pour vous aider dans cette quête personnelle et enrichissante.

Nous sommes enchantés de partager avec vous notre programme des activités pour 2024, une année prometteuse, dédiée à l'enrichissement de nos connaissances et à la célébration de notre héritage.

1. Cours de l'Université Populaire

Depuis sa création en 1999, le CM98 s'est imposé comme une association mémorielle incontournable, œuvrant inlassablement pour la reconnaissance de la mémoire des victimes de l’esclavage colonial. À travers plus de 1000 interventions, nous avons éclairé des aspects cruciaux de l'histoire de la traite et de l’esclavage colonial, sans oublier les dynamiques identitaires et socio-économiques des sociétés post-esclavagistes.

En 2010, cette mission s'est structurée en une Université Populaire, et depuis 2013, en partenariat avec l'Institut d’Histoire de la Révolution Française (IHRF) de l’université Paris 1 Panthéon – Sorbonne, nous offrons des cours approfondis sur l'histoire de la traite négrière et de l'esclavage colonial. Ces cours visent non seulement à transmettre un savoir mais aussi à créer un espace de dialogue et de réflexion autour de notre passé commun.

2. Atelier de Généalogie et d'Histoires des Familles Antillaises

L'Atelier de Généalogie et d’Histoires des Familles Antillaises (AGHFA), créé en 2006, se consacre à un travail de mémoire crucial. Il aide les descendants d'esclaves antillais à retrouver leurs ancêtres, qu'ils soient esclaves, libres de couleur, ou immigrants arrivés après l'abolition de l'esclavage.

Cet atelier ne se limite pas à la recherche généalogique. Il offre un cadre unique pour comprendre les trajectoires familiales pendant et après l'esclavage, établissant ainsi un lien précieux avec nos ancêtres. Ce travail généalogique ne se contente pas de retracer un arbre familial ; il vise à apaiser les blessures du passé et à affirmer avec fierté notre identité de descendants d'esclaves.

Nous sommes impatients de vous accueillir dans ces activités enrichissantes et de partager ensemble ce voyage à travers notre histoire et notre identité. Pour plus de détails sur les inscriptions et le programme, veuillez visiter notre site web ou nous contacter directement.

Rejoignez-nous pour une année de découverte et de commémoration.

Nous sommes ravis d'annoncer le lancement d'une nouvelle rubrique dédiée à nos histoires généalogiques au sein de la newsletter du CM98. Cette initiative vise à mettre en lumière les événements vécus par vos ancêtres.

Nous vous invitons à nous faire part des histoires de vie d'un de vos ancêtres, appuyées par des documents historiques que vous souhaiteriez partager avec nous.

Votre contribution est essentielle. Envoyez vos récits et découvertes familiales à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. à l'attention d'Isabelle Brun-Celcal.

Chaque semaine, nos militants dévoués vous accompagne dans la recherche de vos ancêtres, qu'ils soient esclaves, affranchis ou engagés arrivés après l'abolition de l'esclavage. Ces récits familiaux, restés dans l'ombre, constituent une partie intégrante de notre histoire collective.

Aujourd'hui plus que jamais, il est important de transmettre, partager nos histoires. Le 23 mai 1998 a marqué un tournant, révélant que les esclaves étaient des membres de nos familles. En parlant d'eux, nous tissons les fils d'une histoire commune.

Nous sommes impatients de recevoir vos témoignages et nous serions honorés de les partager dans notre newsletter.

L'équipe de l'Atelier de Généalogie et d'Histoires des Familles du CM98 vous accompagne tous les mardis de 17h15 à 19h au CM98 : 3 villa Dury Vasselon 75020 Paris (Porte des Lilas). Contact : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Téléphone 01.43.64.67.75.

Avant 1848, nos aïeux n'avaient qu'un prénom et, après 1839, un matricule comme identité. 
L'abolition de l'esclavage  survint le 23 mai 1848 en Martinique et le 27 mai 1848 en Guadeloupe. 
Alors, la décision fut prise d'attribuer aux nouveaux libres un nom de famille (environ 85 700 personnes en Guadeloupe et 70 000 en Martinique). 
L'#ANCHOUKAJ'DAY c'est le jour de la nomination d'une famille qui a été esclave. 
Dès ce moment, ils ne sont plus des biens meubles mais des citoyens. 
Le nom que nous portons, c'est le nom qui fut attribué à nos aïeux.

Après 20 ans de durs combats, la République a instauré une journée pour leur rendre hommage : c'est le 23 mai où chaque descendant peut honorer sa famille devant les monuments aux esclaves.

Dans les jardins du Trocadéro à Paris, un mémorial aux victimes de l'esclavage verra le jour, symbolisant ainsi leur respect. Son inauguration par le président de la République  est prévue en mai en 2025.

Chère communauté CM98,

Nous revenons vers vous ce mois-ci avec un nouvel appel  à la solidarité et à l'engagement ! Nous sommes toujours à la quête de bénévoles dévoués et passionnés, prêts à apporter leur pierre à l'édifice pour des projets qui nous tiennent à cœur.

Les tâches de retranscription de données pour notre mémorial sont toujours d'actualité. Cette mission, accessible à tous, joue un rôle clé dans la préservation et la valorisation de notre histoire collective. Si vous avez quelques heures à consacrer, votre aide serait inestimable pour cette tâche de copier-coller des données d'un fichier Excel à un autre.

Mais ce n'est pas tout ! Vos talents et compétences peuvent briller dans divers domaines :

Êtes-vous un as des réseaux sociaux, un artiste du graphisme, un prodige de la vidéo ou un expert des outils de communication ? Rejoignez notre équipe de communication !

Vous vous sentez interpellés par l'histoire des familles antillaises et vous souhaitez explorer leurs racines, venez nous rejoindre.  

Vous êtes fascinés par l'étude de nos sociétés post-esclavagistes et souhaitez contribuer à l'enrichissement intellectuel de la communauté ? Participez aux initiatives de l'Université Populaire.

Vous possédez un savoir-faire professionnel ou simplement une envie ardente de vous investir pour le bien commun ? Il y a une place pour vous au sein de nos équipes !

De l'Université populaire à la logistique, en passant par le secrétariat et bien d'autres domaines, chaque contribution est précieuse. Nous nous engageons à vous offrir une formation et un accompagnement de qualité pour faire de votre expérience de bénévolat une aventure enrichissante et épanouissante.

N'hésitez pas, rejoignez-nous et faisons ensemble du CM98 une force inébranlable et solidaire.

Contactez-nous sans tarder à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Votre dévouement et votre générosité sont les moteurs de notre réussite. Ensemble, faisons la différence !